
Conflit
Pays : Tunisie
Réalisateur : Moncef Barbouch
- Année : 2013
- Durée : 124 mn
- Genre : fiction
- Format :
- Réalisateur exécutif : Anouer Ayachi
- Scénariste : Houcine Mahnouch
- Producteur exécutif : Nour prod
- Directeur de production : Mahmoud Ben Dhifallah
- Directeur photo : Issam Saidi
- Montage : Malika Essadok
- 1er assistant réalisateur : Bilel Bali
- Scripte : Melek Bouderbala
- Ingénieur son : Karim Guemira
- Chef Décorateur : Ali Manousri
- Chef Maquilleuse & coiffeuse : Hajer Bouhaouala
- Chef costumière : Besma Dhaouadi
- Chef éléectricien : Skander Dhaoui
- Chef machiniste : Hassen Tebbi
- Production : Amina Gharbi
- Régie : Moez Amri, Imed Kefi, Hatem Ben Zineb
Avec :
- Salah Jday (Le professeur).
- Houcine Mahnouch (Naceur).
- Lamia Amri (Mariem).
- El Hechmi El Ati (Abdessalem).
- Abderraouf Sghaier (Med Salah).
- Bechir Mahjoub (Moustapha).
- Med El Hedi Jouini (Abdelwehed).
- Sondos Hammou (Amina).
- Halima Daoud (La maman du profrsseur).
- Nabil Mihoub (Jamel).
- Amira Ben Ali (Mounira).
- Sana Bezine (Sameh).
- Hejer Hachena (Fatma).
- Dalenda Abdou (La maman de Naceur).
- Maram Mosbeh (Zohra).
- Hichem Rostom (Mokhtar).
- Fathi Miled (Doukha).
- Ahmed Mahnouch (chef emprisonneur).
- Slah Eddine Msaddak (Chef de la prison de Borj Erroumi).
Résumé :
- Le 7 novembre 1987, les citoyens tunisiens viennent d’apprendre la nouvelle : c’est le «changement» tant attendu, la vie s’arrête et l’espoir d’un peuple renaît.
Décembre 1990, ces citoyens mettent fin à leurs illusions, tout n’était qu’un mirage. Ils n’étaient au fond qu’en liberté provisoire, leur vie bascule ; emprisonnement, torture, exil forcé, résidence surveillée et autres exactions ont été commises, leur vie s’arrête et le désespoir s’installe.
Directement ou indirectement, plusieurs centaines de milliers de citoyens sont en état de siège, ils sont renvoyés de leur travail, affamés, interdits de voyage…
Le professeur, sa femme Meryem et leurs enfants, Mustapha et des milliers d’autres vivent tous des moments difficiles, leur vie devient bascule, leur vécu est synonyme de souffrance. Des syndicalistes, des islamistes, des gauchistes se trouvent côte à côte, ils relèvent le défi et commencent une expérience inédite : le choix de rester debout, de combattre et ne pas céder à la tyrannie.
Les enfants, premières victimes, sont touchés dans leur quotidien mais surtout psychiquement, ce qui leur arrive est inexplicable, le drame regagne d’intensité à partir du moment où un nouvel intrus rentre après tant d’années d’emprisonnement.
Les blessures se cicatrisent tout doucement et tout un peuple défie sa peur, et se donne rendez-vous, entre autre, avec les héros victimes de notre histoire, un certain 14 Janvier 2011, avenue Habib Bourguiba, scandant «le peuple veut faire tomber le pouvoir», «Ben Ali dégage».
Une page de l’histoire de la Tunisie se ferme et une nouvelle s’ouvre, les Tunisiens viennent de donner de l’imagination à d’autres peuples…
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