PANORAMA INTERNATIONAL SHORT FILM FESTIVAL, 5° ÉDITION

La 5° édition du Panorama International Short Film Festival se tiendra du 4 au 6 février 2020. 21 films de différentes catégories participeront au Festival, les projections seront suivies de débats avec le réalisateur ou un membre de l’équipe de production.

Les projections auront lieu salle Tahar Chériaa, à la Cité de la Culture, à Tunis.

Le Jury est composé de l’actrice Fatma Ben Saïdane, du réalisateur Anis Lassoued et de la journaliste et réalisatrice Mabrouka Khédir.

Les films sélectionnés pour cette édition sont :

Gauche Droite, de Moutii Dridi, Tunisie 2018, 22 mn.

  • Yassine, sept ans, gaucher de naissance, est forcé par son père à utiliser sa main droite.

Au pays des oranges tristes, de Dhia Jerbi, Tunisie / France 2018, 26 mn.

  • Questionnement sur la paternité, l’exil et l’héritage dans un petit appartement qui devient, le temps d’un film, l’espace d’une rencontre entre trois générations, séparées entre Tunisie et France.

Mélodie de la vie, de Alaeddine Essayed, Tunisie, court-métrage.

  • Le film raconte la relation entre la musique et la vie, et sa valeur dans la société.

Bad shoes, de Akli Ameddah, Algérie, court-métrage.

  • Un incident de harcèlement sexuel dans lequel les chaussures pour hommes sont un groupe de garçons, contre les chaussures pour femmes.

Noah, de Abanoub Youssef, Égypte, court-métrage.

  • Trois réfugiés de trois continents différents, leurs différences politiques les ont empêchés de rentrer chez eux.

My son, de Ismail Bouich, Algérie, court-métrage.

  • C’est l’histoire d’un garçon qui vit comme un serviteur, sous l’autorité de sa mère.

Helwess, de Omar Samoud, Tunisie, court-métrage.

  • Un jeune homme tente de découvrir le mystère derrière les voix dans sa tête, qui l’obligent à se droguer.

Enfants d’Ève exilés, de Ghassen Ayari, Tunisie, court-métrage.

  • Dans un monastère isolé du monde, des personnes, indifférentes à tout ce qui les entoure, ont choisi de mener une vie basée sur le silence, la prière et le travail au quotidien.

Le Petit papa, de Mortadha Ghannouchi, Tunisie 2019, 18 mn.

  • Aymen est un petit enfant qui travaille sur sa famille, il raconte son histoire avec son tok-tok..

Une Opportunité, de Ibrahim Merai Saad, Libye 2018, 18 mn.

  • Le film met en lumière une catégorie d’enfants autistes, dans le but de sensibiliser à la maladie et à ceux qui en souffrent, afin que la communauté puisse reconnaître ce groupe et sa spécificité.

Caïn, de Melek Majdoub, Tunisie 2019, court-métrage.

  • Ce court-métrage aborde le phénomène des conflits entre les différentes générations, qui provoquent l’agression et la violence contre les enfants.

Une nuit cinq étoiles, de Achref Zekri, Algérie, court-métrage.

  • Pour se suicider, Émir, trente ans, passe ses dernières heures dans une chambre d’hôtel.

The total peace, de Bougherraf Abdellah Mansour, Algérie, court-métrage.

  • La pêche est un plaisir, un travail, une habitude, un passe-temps, un amour, un quotidien, un repos, des refuges…

Paradis infernal, de Skaner Amor, Tunisie, 9 mn.

  • En rentrant d’une soirée, deux amis d’enfance, Khaled et Karim, se trompent d’étage dans le parking. Un coup de klaxon attire leur attention, et ils se retrouvent dans un lieu de crime avec une voiture abandonnée et deux cadavres.

60 60 Sound, de Mohamed Mhamdi, Algérie, court-métrage.

  • Avez-vous essayé de regarder un film sans son ? Vivez l’expérience, regardez ce film.

Sur le quai de l’espoir, de Jamila Demery, Maroc, court-métrage.

  • Chaque fin de semaine, une jeune fille retrouve son fiancé à la gare. Mais ce dernier ne vient plus… Elle vit alors dans une attente douloureuse, tout en replongeant sans cesse dans ses souvenirs…

Sun, de Boukef Med Taher Shawki, Algérie, court-métrage.

  • Une série de scènes de frustration et de misère, telle la relation entre le fonctionnaire et le citoyen moyen, dans les systèmes qui glorifient les individus.

Kartouna, de Yassine Azdouh, Maroc, court-métrage.

  • Un enfant sans-abri souffre de brimades, de violences et de viols dans une société impitoyable, mais il poursuit son rêve de devenir acteur…

Ghost reveries 02 janvier, de Safa Ghali, Tunisie, 13 mn.

  • Suite au décès de son mari pendant la révolution de janvier 2011, Faten sombre dans la dépression. Puis elle revit les moments passés grâce à une ardoise magique et se remet en question..

Frousse, de Alaeddine Hammami, Tunisie, court-métrage.

  • Yassine, dix ans, vit dans une situation de peur, entretenue par sa maîtresse, jusqu’à l’arrivée d’une réaction imprévisible…

Ghodwa Khir, de Issam Barka et Nour Oueslati, Tunisie, court-métrage.

  • Après beaucoup de patience et grâce à un travail « imposé » par la nécessité, un jeune diplômé atteint sa liberté financière en créant une entreprise.

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