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L’équipe de «cinematunisien.com» – Paris, le : 21.10.2023 – L’annulation de la 34ème édition des JCC, initialement prévues du 28 octobre au 4 Novembre 2023, a surpris et choqué la plupart des gens, aussi bien en Tunisie qu’à l’étranger. Les réactions d’incompréhension et de désapprobation n’ont d’ailleurs pas tardé à se multiplier partout, sur l’ensemble des médias et des réseaux … |
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Suite à l’annulation de la 34e session des Journées Cinématographiques de Carthage 2023 (JCC), initialement prévue du 28 octobre au 4 novembre à Tunis, en solidarité avec le peuple palestinien, le comité-directeur du festival, présidé par le réalisateur tunisien, critique et historien des cinémas africains et arabes, président d’honneur de la session, Férid Boughedir, a publié le 27 octobre 2023, … |
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Par La Rédaction de realites.com – 21-10-2023 – Le président de l’association des réalisateurs cinématographiques tunisiens, Akram Mansar, a exprimé sa profonde déception quant à la décision d’annulation de la 34ème session des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC). Il a estimé que le festival du cinéma est loin d’être une simple plateforme de divertissement mais aussi une plateforme de résistance, … |
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TUNIS, 22 oct. 2023 (par Fatma Chroudi, TAP) – L’avant-première nationale de «Take my breath» deuxième long-métrage de fiction de Nada Mezni Hafaiedh a eu lieu, samedi soir, au cinéma Pathé Tunis City, dans la capitale, en présence de l’équipe du film. Une tournée dans les régions est prévue à l’occasion de sa sortie en salles, mercredi prochain 25 octobre … |
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L’héritage audiovisuel, c’est plus que des images ou des sons en mouvement – c’est une partie de notre identité. Alors que nous marquons aujourd’hui la Journée mondiale du patrimoine audiovisuel, continuons à préserver les archives de l’histoire et à partager le patrimoine qui relie notre passé, présent et futur. Les archives audiovisuelles nous racontent des histoires sur la vie et … |
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C’est dans les faits divers et les destinées tragiques que Kaouther Ben Hania trouve son inspiration. Toujours à l’affût d’histoires qui défrayent la chronique : une fille violée par les policiers au lendemain d’une révolution libératrice comme dans «La Belle et la meute», un homme qui vend sa peau pour le compte d’un peintre à la réputation sulfureuse comme pour «L’Homme qui a vendu sa peau» et cette fois-ci avec «Les Filles d’Olfa», une mère dont deux des quatre filles ont disparu, endoctrinées par Daech. |
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