LES AMBASSADEURS

Les Ambassadeurs (Al Sufarâ)

Réalisation : Nacer Ktari

Pays : Tunisie – France – Lybie

  • Année de production : 1975/1976
  • Durée : 102 mn
  • Genre : fiction
  • Format : 35 mm, couleur,
  • Scénario : Naceur Ktari, Lise Bouzidi, Christine Jancovici, Ahmed Kassem, Gérard Mauger
  • Assistants réalisateur : Alban Poirier, Hafedh Bouassida, D. Guerrier.
  • Image : Jean-Jacques Rochut
  • Caméra : Ahmed Zaaf, Ahmed Bennys
  • Son : Antoine Bonfanti, Hechmi Joulak
  • Montage : François Ceppi, Larbi Ben Ali, Lise Bouzid
  • Musique : Hamadi Ben Othman
  • Directeurs de production : Hassen Daldoul, Alain Dahan.

Production :

  • Alain Dahan : Unité Trois et Les Films du Nidal (Paris)
  • Hassen Daldoul : SATPEC (Tunis)
  • Organisme général El Khayala (Lybie)

Avec :

  • Sidi Ali Kouiret (Salah)
  • Jacques Rispal (Albert)
  • Tahar Kebaili (Mehdi)
  • Marcel Cuvelier (Pierre)
  • Mohamed Hamam (Ahmed)
  • Dominique Lacarrière (Zohra)
  • Faouzi Kasri (Ali)
  • Pierre Forget (Cecelle)
  • Dynn Yaad (Kamel)
  • Françoise Thuries (l’institutrice)
  • Med Hondo (Med)
  • Catherine Rivet (Catherine)
  • Didane Ooumer (Hedi)
  • François Dyrek (Paul)
  • Raoul Curet (l’instituteur)
  • Gilberte Géniat (la boulangère)
  • Guy Mairesse (le guetteur)
  • Khémaïs Khayati (Aziz)
  • Paul Pavel (journaliste)
  • Denise Péron (Denise)
  • Alice Reichen (une institutrice)
  • Yves Wecker (Nicolas)
  • Jenny Clève (Simone)
  • Annie Noel (Josette)
  • Omar Chouiref
  • Berabah Rabah
  • Abdellatif Hamrouni
  • Samir Ayadi

Synopsis :

  • Dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris, les émigrés nord-africains vivent en groupe parce qu’on n’en veut pas ailleurs. Les deux communautés arabe et française, forcées de cohabiter, ne se comprennent pas et s’affrontent. Salah, venu du sud du Maghreb, découvre la vie de l’émigré à Paris et assiste en témoin ou en acteur aux incidents quotidiens qui tissent la vie de ses compatriotes. Celle-ci, sauf l’exception qui suppose des moyens peu honnêtes, est pénible et douloureuse. Les Français racistes du quartier prennent l’initiative d’agressions qui vont jusqu’à un double assassinat. Salah, aidé de camarades décidés, prend conscience qu’il faut agir et collabore à l’organisation d’une manifestation de masse. Tous se retrouvent au Palais de Justice, unis et décidés.

Distinctions et Prix :

  • 1976 : Mention Spéciale à Locarno.
  • 1976 : Prix d’Argent au Festival de Figueira da Fos, Portugal.
  • 1976 : Tanit d’Or aux Journées Cinématographiques de Carthage.
  • 1976 : Prix de l’A.F.C.A.E. à Carthage.

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