Le réalisateur palestinien Mohamed Shili a fait de l’intelligence artificielle (I.A) un outil de fabrication, devenant ainsi le premier cinéaste palestinien à y avoir recours. Le film rend compte de l’organisation du Festival qui s’est tenu sous la thématique : «L’Espoir ne mourra jamais».
Cet opus met en lumière la synergie déployée, sous la direction du président du Festival Dr Ezzedine Shallah, par les organisateurs – en l’occurrence l’association «Regard de jeunesse» -, en collaboration avec le ministère de la Culture palestinien. Le film nous permet de voir comment les organisateurs ont bravé la mort pour faire des murs délabrés des écrans de projection, face auxquels les spectateurs continuent à voir des films, malgré les bombardements ininterrompus, …
Chaque projection est une victoire en soi, disait le réalisateur du film. Ce dernier dédie son travail, effectué dans de difficiles conditions psychologiques et matérielles, aux martyrs et à tous ceux qui croient que la création palestinienne ne pourra jamais être entravée. Le réalisateur, par ce film entièrement en intelligence artificielle, nous interpelle sur la situation désastreuse à Gaza et fait de la création une arme de résistance.
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