FRANCE — LA VOIE NORMALE AU CINÉMA DEPUIS LE 13 OCTOBRE 2021

Le film tunisien «La Voie normale» de Erige Sehiri trouve les écrans français, c’est toujours une réjouissance pour le cinéma tunisien qui confirme encore la créativité de plusieurs de nos cinéastes.

À Paris au cinéma Les 3 Luxembourg

67 rue Monsieur le Prince, 75006 Paris, métro Odéon

Séances :

  • Mercredi 13 octobre à 17h et 20h30
  • Jeudi 14 octobre à 14h50 et 21h
  • Vendredi 15 octobre à 15h30 et 19h*
  • Samedi 16 octobre à 14h50 et 21h10
  • Dimanche 17 octobre à 13h et 16h30
  • Lundi 18 octobre à 14h50 et 20h30
  • Mardi 19 octobre à 13h et 16h30

Cinéma Utopia, St-Ouen l’Aumône

1 place Mendès-France, Saint-Ouen l’Aumône

  • Jeudi 14 octobre à 20h30*

* séances en présence de la réalisatrice Erige Sehiri


  • «Un film qui renoue le lien entre la condition ouvrière et le cinéma des origines rendu à son essence révolutionnaire et prolétarienne : fracas des machines, ivresse mécanique, sueurs et visages renvoient au souvenir de La Bête humaine». LES CAHIERS DU CINÉMA

  • «Ce film superbement réalisé célèbre la dignité, l’espoir et la résilience» GIONA NAZZARO DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE LA SEMAINE DE LA CRITIQUE DE VENISE

Résumé :

  • Les cheminots tunisiens affectés à la ligne n°1 la surnomment LA VOIE NORMALE, car c’est la seule construite selon les normes internationales. Ironiquement, c’est aussi la plus délaissée et détériorée du réseau. Les accidents sont fréquents et les vies des passagers et des employés sont mises en danger. Aux commandes des locomotives, Ahmed, Afef, Issam, Abee et Najib sont acteurs et témoins du difficile processus de transformation des chemins de fer tunisiens, et par extension de la société post-révolutionnaire tunisienne dans son ensemble. Chacun d’entre eux essaye au mieux de trouver une nouvelle place dans une société qui peine à se créer un mode d’existence démocratique. En dénonçant l’incompétence et la corruption, ce film célèbre la dignité, l’espoir et la résilience.


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